Une approche

En combinant 2 approches puissantes la thérapie brève systémique  stratégique & les pratiques narratives, je vous aide à sortir du cercle vicieux qui fait souffrir. Et je vous redonne confiance en votre capacité d’agir, en vous aidant à faire autrement.​

L’histoire de l’école de Palo Alto

L’Ecole de Palo Alto est une école de pensée de l’approche systémique et des relations humaines et interactionnelles, regroupant un groupe de chercheurs d’origines scientifiques diverses et qui ont travaillé à Palo Alto, en Californie dans les années 1950. L’initiateur de l’Ecole de Palo Alto est Grégory Bateson, anthropologue et zoologue.

Leurs travaux sont orientés vers la théorie de la communication, la méthodologie du changement et la pratique thérapeutique. Il en résultera une révolution de la pratique psychiatrique et psychothérapeutique et l’Ecole de Palo Alto mettra sur pied les thérapies familiales et les thérapies brèves.

Les spécificités de l’approche :

La thérapie brève et stratégique selon l’approche de Palo Alto cherche à soulager la souffrance le plus rapidement possible en amenant les patients à faire des expériences nouvelles qui leur permettent d’affronter le présent et l’avenir de façon plus sereine.

• À l’inverse de certaines approches qui recherchent des causes aux problèmes actuels dans le passé (Pourquoi Cela?), la thérapie brève selon Palo Alto est une approche qui se concentre sur le présent et qui se focalise sur la recherche de solutions (Comment faire?)
• Elle ne s’intéresse pas seulement à  l’individu mais au système relationnel dans lequel il évolue, aux interactions de son milieu. Elle repose sur l’idée que l’on soigne des relations, et non des personnes.
• Elle vise à faire découvrir au patient (et à son entourage) ses forces, ses ressources et ses compétences pour qu’il les développe au mieux et en autonomie.

L’idée à la fois simple et géniale de l’approche de Palo Alto est le constat que c’est souvent ce que nous mettons en place pour tenter de résoudre le problème qui l’aggrave, ainsi souvent que la souffrance qui y est associée.

Au travers d’un questionnement concret, le patient est amené à exposer de manière factuelle ce qu’il a tenté pour résoudre sa situation problématique et qui n’a pas fonctionné. L’objectif de la thérapie est d’apaiser la souffrance en mettant en exergue les cercles vicieux  que le patient alimente et qui ne font qu’accentuer cette souffrance, tel un hamster dans sa roue. Car c’est précisément ce que le patient fait pour se sortir de son problème, et qui logique pour lui, qui le renforce.

la thérapie brève stratégique et systémique est particulièrement adaptée pour les problématiques suivantes :

• Accueil et régulation des émotions (colère, tristesse, peur, plaisir, culpabilité, jalousie…),

• Phobie, crise de panique, crise d’angoisse, état anxieux généralisé

• Souffrances à l’école (harcèlement, phobie scolaire, difficultés d’apprentissage….) 

• Souffrances au travail (harcélement, épuisement, difficultés relationnelles, tensions, pression …)

• Tensions quotidiennes dans la famille (sommeil, devoirs, alimentation, propreté, écrans,  …),

• Relations conflictuelles avec les parents ou dans la fratrie, comportements inquiétants, conduites addictives,

• Dépression

• Troubles des comportements alimentaires

• TOC

• Accidents de la vie (deuil, séparation/divorce, chômage…)

• Burn-out

L’origine des pratiques narratives

Les Pratiques Narratives ont vu le jour en Australie il y a maintenant presque trente ans. Créées par Michael White et David Epston, deux travailleurs sociaux et thérapeutes australiens, elles considèrent que l’identité d’une personne est construite par ses relations et par les histoires racontées à son propos. L’idée principale est que les récits que nous produisons en permanence sur notre vie peuvent soit nous enfermer, soit nous libérer, et qu’il existe toujours une multiplicité de points de vue pour rendre compte d’une situation.

Les spécificités de l’approche :

Nous sommes les histoires que nous nous racontons sur nous-mêmes et aussi les histoires que les autres racontent sur nous à travers nos relations.  Ces histoires dites « dominantes » peuvent nous faire perdre confiance en nous, entraîner une mésestime de nous.

Le coeur des pratiques narratives consiste à permettre à une personne de reprendre contact avec ce qui a de la valeur pour elle avec un questionnement spécifique. En redevenant ainsi auteur de sa vie, cela reduit l’influence de ses problèmes.

Les « pratiques narratives » se basent sur les principes suivants : 

• « La personne, c’est la personne, le problème, c’est le problème, la personne n’est pas le problème. »
• « La vie doit être considérée avant tout du point de vue de celui qui en fait le récit »
• « La personne est porteuse de la solution et de la ressource à mettre en œuvre pour résoudre le problème»

les pratiques narratives sont particulièrement adaptées pour les problématiques suivantes :

• Pour mieux se connaitre : ses forces, talents, compétences, valeurs, soutiens, rêves, ressources ..
• Pour restaurer l’estime de soi,
• Pour changer / décaler le regard que l’on pose sur soi
• Pour reprendre confiance en soi,
• Pour insuffler de l’énergie.
• Pour faire un bilan et se projeter dans l’avenir